Un dimanche soir.Où l'inspiration tient son record.

                Ni l'été, ni l'automne...Ni sucré ni amer...Ni chaud ni froid.Un air sur un harmonica, modeste, bien sûr.Noël tombe en mon âme...Puis Halloween...Et j'en passe.Un secret bien gardé.Une froideur cachée.Un regard indifférent, sans paroles.Les esprits se lèvent, accordéons et violons, pianos et piccolos.Chants traditonnels, chaleur d'une fierté condamnée au silence.Fantômes tsiganes.Contrebasses et guitares, levez-vous, ni chef d'ochestre, ni queue de pie. Ni même d'aristocratie. Douleur et passion, mêlés pour l'eternité, la foi ne compte, le désir m'inccombe.Musique s'il vous plaît.Bougies et compagnie, chantons,dansons puisque la mort nous embrassera.Cavalier nocturne, rythme des fantaisies.Bravant les lois tout comme les rues.Paris n'est plus Paris m'ennuie,l'ordre gouverne,le temps s'en va.Chassez ce malheureux, ce "valeureux",ce flic de riche,cet interdit! La nuit nous prends,Eiffel éclaire,ferraille de lampe.Regardez-moi,cavalier de Paris,ces yeux changeants,moustache discrete,menton au bouc et nulle misère.Le regard noble,la main ouverte,la flamme d'un diable.Juste un instant,juste une nuit,mieux qu'Amérique,

Paris pour moi et lui.