Cette réalité violente à laquelle je me frotte, m'écorchant la chair au passage de ma propre nature. Espoir.
Veuve avant l'heure d'expériences in-utiles.
Trait d'union,
Planté dans le monde cru, pour aller transpercer des bords mon idylle.
De ma raison efficace, à ma mortelle imagination
Planté dans le monde cru, pour aller transpercer des bords mon idylle.
De ma raison efficace, à ma mortelle imagination
Je me consume d'irréel poussant les portes de ma raison toujours plus loin,
Parfois des faibles échos, des questions "Comment s'en passe-t-on?"
On ne s'en passe pas, ce serait se mutiler, s'arracher la pompe de notre être, de mon poison-notre poison.
In-Consciemment refoulé, l'écho de la réalité disparaît, je crépite vers les flammes malsaines de mon être,
Pouvoir insensé, ampleur d'un savoir du mensonge protégeant mon esprit, attendant la destruction de celui-ci pour sombrer dans le bonheur.
Je me désintègre, m'efface pour rejoindre mon subconscient auquel je donne des pistes.
Poison de vitalité, je rouvre le chapitre me plongeant, esprit contraint par ma détresse à t'imaginer, te créer une indépendance dépendante de nous.
Délectation de l'ennemi, paranoïa oblige, fumet d'un bûcher pathétique, absence irrespectueuse aux proches, fantôme inutile.
Pourtant je ne peux retenir ces voix qui m'emportent là où je contrôle les souffrances, un brin de tragédie, saupoudrer de folie.
Une harpe douce guidant mes pas vers les funérailles de ma raison, des accords calmes de clarté et de pureté,
Begins hallucinations.